Acheter materiel informatique en bitcoin

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Author: Admin | 2025-04-28

Les chiffres de vente au détail ne sont que des estimations[133].Selon Tim Swanson, directeur du développement des affaires d'une société de technologie de crypto-monnaie basée à Hong Kong, en 2014, les achats au détail quotidiens effectués avec du bitcoin valaient environ 2,3 millions de dollars[134]. La revue MIT Technology estime qu'en février 2015, moins de 5 000 bitcoins par jour (d'une valeur approximative de 1,2 million $ à l'époque) étaient utilisés pour les transactions de détail, et conclut qu'en 2014 « il semble y avoir eu très peu ou pas d'augmentation achats au détail en utilisant Bitcoin ».Une entité criminelle peut vouloir blanchir des capitaux illégaux en achetant des bitcoins sur un compte anonyme et intraçable. Une personne peut vouloir sortir anonymement de l'argent de son pays[135].Les hackeurs installent des rançongiciels dans les systèmes informatiques des entreprises et réclament quelquefois des rançons en bitcoin. A titre d'exemple on peut citer les événements suivant :Le 22 août 2020, aux États-Unis, le FBI a arrêté un ressortissant russe, qui avait proposé un million de dollars en bitcoin à un employé de Tesla pour introduire un rançongiciel dans la Gigafactory d’Elon Musk[136].Le 7 mai 2021, la direction de Colonial Pipeline, exploitant d'un oléoduc qui alimente en essence la côte est des États-Unis, reçoit un message de pirates informatiques exigeant une rançon de 4,4 millions de dollars pour débloquer l'exploitation de ce pipeline stratégique. Le PDG de l’entreprise décide rapidement de payer. Le versement aux hackeurs de la rançon est effectué en bitcoins, en échange d’un logiciel de déblocage qui s'avère insuffisant. Aux États-Unis le FBI exhorte les victimes de piratage et/ou de hackeurs à ne pas payer de rançon[137]. Le ministère de la justice a récupéré la majorité de la rançon que Colonial Pipeline a versé au groupe DarkSide[138].En France, en juillet 2021, « Haurus », ex-agent de la Direction générale de la Sécurité intérieure (DGSI) est condamné à sept ans de prison dont deux avec sursis pour avoir vendu des données confidentielles sur le darknet, il était rémunéré en bitcoins. Parmi ses « clients », un homme connu dans le milieu du

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